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Redbox Média

Votre garderie est-elle gérée professionnellement ?

By CPE

Le métier de gestionnaire d’une garderie au Québec n’est pas aussi simple qu’il y paraît à la base. Il n’y a qu’a penser au nombreuses règle qui entre en ligne de compte comme la loi sur les services de garde, les règlements, les règles budgétaires, les normes du travail, la loi sur la protection du consommateur, l’équité salariale, la sécurité alimentaire et j’en passe.  Dans ce bulletin je vais essayer de discuter de ce qu’est la gestion professionnelle d’une garderie.

Comment se fait-il que des clients du bureau réussissent à faire 320 000 $ de profit (avec un peu moins de 70 places et sans facturer plus de 7 $) et d’autres ne font que 100 000 $ avec 80 places? Il ne s’agit pas simplement de maximiser l’occupation et de faire un contrôle strict des dépenses. Seule une gestion professionnelle de la garderie peut faire la différence. N’oubliez pas qu’une différence dans le profit annuel peut faire une grande différence dans l’éventuel prix de vente de la garderie, le jour venu.

Performer!  Pour certain, juste l’évocation du concept de performance a une connotation négative. Souvent la culture des CPE (organismes sans but lucratif – OSBL) pousse les gestionnaires à repousser l’idée de performance. Lorsque je parle de performance, on me répond souvent « On n’est pas là pour faire des profits… sur le dos des enfants en plus » ou « ce n’est pas dans notre mission ». En fait, la plupart des gens seront d’accord si on dit qu’il faut toujours essayer de s’améliorer. C’est ça le concept de la performance. C’est de toujours s’améliorer par rapport à soi même. Généralement, les septiques sont confondus, lorsque que je mets en contraste que les enfants du CPE pourraient avoir encore beaucoup plus si le CPE améliorait sa performance.

Il existe plusieurs approches de gestion, mais ma pratique m’a confronté à trois types d’approche. Il s’agit de l’approche « contrôle des dépenses », l’approche « satisfaction », et l’approche « professionnelle ». Je rencontre ces approches autant dans les garderies que les Centres de la Petite Enfance (CPE). Le choix de l’approche est propre à chacun des gestionnaires. Généralement, plus les gestionnaires sont expérimentés plus ils vont tendre vers l’approche « satisfaction ». Quelques gestionnaires adoptent une approche mixte ou une approche professionnelle.

L’approche « contrôle des dépenses »

Les tenants de cette approche imposent à l’organisation un contrôle strict des dépenses. Généralement, les gestionnaires moins expérimentés vont utiliser cette approche. Cette approche a l’avantage d’être facile à appliquer. Le gestionnaire n’a pas besoin d’être talentueux, ni de connaître toutes les règles, il n’a qu’à dire non à peu près à chaque fois qu’il est temps de sortir de l’argent, c’est tout. Dans ces garderies, le gaspillage est inexistant et on coupe partout où c’est possible. On surveille les assiettes des enfants, on réduit un peu le chauffage (soi-disant par soucis pour l’environnement) et ces gestionnaires coupent les éducatrices s’il y a trop d’absents un matin. Mais le pire c’est lorsque, les plus audacieux, coupent les coins ronds et prennent des risques « calculés » avec la sécurité des enfants.

Les plus tenaces peuvent finir ainsi par créer des tensions dans l’organisation à tous les niveaux et dégrader à la longue les acquis que la garderie pourrait avoir. Une telle approche crée beaucoup d’insatisfaction et aidera à l’implantation d’un syndicat. Ces gestionnaires créent inutilement des tensions avec les employés qui mineront finalement leur propre satisfaction vis-à-vis leur entreprise. Cette approche, plus ou moins valable à la base, peut aussi se transformer  en attitude négative qui aidera à augmenter le nombre de plaintes des parents, qui, par ricochet, créera une occupation plus difficile à maximiser, et favorisera de nombreuses inspections du ministère de la Famille et des aînés (MFA). Finalement, ces gestionnaires augmentent leurs chances de « burnout », et le jour venu, les propriétaires acceptent, un peu fatigués, un prix plus faible pour leur garderie.

L’approche « satisfaction »

Les tenants de cette approche recherchent avant tout à maximiser la satisfaction de tout le monde. Ils ont tendance à avoir une approche plus équilibrée où le contrôle des dépenses fait place à un beaucoup plus de souplesse. Ces gestionnaires se préoccupent surtout de  s’assurer que tout va bien et qu’il y a le moins d’insatisfaction possible dans leur établissement. Les résultats indiquent que ces gestionnaires n’ont pas nécessairement de moins bons bénéfices que les tenants de l’approche «contrôle des dépenses».

En effet, la satisfaction générale fait souvent en sorte que la pression sur les salaires est moindre que dans une garderie hyper contrôlée. Le taux de CSST est souvent plus bas, il y a moins de frais légaux, rotation plus faible des éducatrices et un meilleur facteur de modulation. Ces différences se gagnent au fur et à mesure. Le gestionnaire qui recherche le profit à court terme optera pour le contrôle des dépenses. Sur une plus longue période toutefois, le gestionnaire qui aura une gestion « satisfaction » se retrouvera gagnant, car non seulement il sera moins sujet au « burnout » mais les résultats de sa garderie ne seront pas nécessairement moins bons.

L’approche « professionnelle »

L’approche professionnelle se caractérise par la recherche du meilleur équilibre qui permet d’atteindre le bénéfice le plus élevé. Ce qui les caractérise le plus, formation ou pas, c’est qu’ils repensent leur garderie encore et encore. Les gestionnaires professionnels vont travailler à hausser les bénéfices de la garderie tout en ménageant les susceptibilités de tout un chacun. Ils vont identifier les risques potentiels et prendront des mesures efficaces et efficientes pour les contrôler. Ces professionnels prennent leur rôle au sérieux. Les décisions ne sont pas prises à la légère et elles cadrent toutes avec les objectifs qui ont été fixés au début de l’année.

Un gestionnaire professionnel sait lire les chiffres de son rapport financier annuel (RFA) et connais bien les règles budgétaires. Il n’y a rien de magique, simplement que les chiffres leur dévoilent la plupart des choix qu’ils ont à faire. Le RFA, prescrit par le MFA, a été bien monté par les fonctionnaires du ministère. Le RFA a fait l’objet d’une analyse approfondie de manière à développer un bon outil d’évaluation. Le ministère utilise le RFA non seulement pour s’assurer de la subvention finale à verser ou à reprendre, mais aussi pour développer statistiques et faire diverses analyses. Vous devriez y voir de plus près vous aussi. 

Analyser ses résultats et fixer des objectifs

Une analyse rigoureuse des résultats de la garderie est nécessaire au moins une fois par année. De cette analyse, vous devez être capable de repérer vos forces et vos faiblesses et de là vous pourrez fixer les objectifs de l’année à venir pour vous et votre personnel.  Souvent les personnes responsables de la gestion d’une garderie n’ont pas de formation en gestion. Comprendre la comptabilité, la fiscalité et ses responsabilités de gestionnaire est très important. 

Mais qu’est-ce qu’un gestionnaire professionnel doit faire en premier?

Pour réussir une gestion professionnelle, la personne responsable doit d’abord cesser de prendre son travail de gestion à la légère. Beaucoup de responsabilités incombent au gestionnaire d’une garderie. Non seulement il doit s’assurer de maximiser la rentabilité de son établissement, mais il doit aussi gérer les risques quotidiennement. Le risque de poursuite est assez élevé dans les garderies et CPE. Je constate régulièrement des poursuites des parents, des éducatrices ou des directrices même. En plus, on doit toujours faire face au risque de mauvaise publicité si une éducatrice ou un éducateur fait une faute avec un enfant. 

Si vous êtes déjà du type « satisfaction », sachez que l’approche professionnelle est à votre portée. Si vous êtes du type « contrôle des dépenses », vous avez un peu plus de chemin à faire, mais vous pouvez y arriver.

Vous devrez aussi avoir le support d’un conseiller spécialisé qui connaît bien le secteur des garderies et CPE. Seul, il y a bien des chances que vous n’y arriverez pas. Le conseiller choisi doit concentrer son expertise dans ce domaine. Certaines firmes de comptables professionnels agréés comme la notre (Célestin Comptables Professionnels Agréés) ont développé une vaste clientèle dans le domaine des garderies et CPE se qui leur permet d’être continuellement confronté a diverses problématiques que vivent les garderies et CPE. L’expérience acquise de toutes ces problématiques est loin d’être négligeable. En fait, le cumul des succès et erreurs vécus par les clients du bureau nous a fourni au fil des années une expérience qui peut devenir, pour vous, une petite mine d’or.

À bientôt,

Célestin Comptables Professionnels Agréés

16 erreurs fréquentes faites lors de la préparation de déclaration de revenus!

By Accueil

Voici quelques-unes des erreurs fréquentes qu’il m’a été permis de constater dans ma pratique en tant que comptable agréé. Comme personne n’est infaillible, il se peut même que votre comptable fasse ces erreurs. Soyez donc attentifs vous pourriez économiser quelques centaines de dollars, voir quelques milliers. Yves Chartrand, une sommité en fiscalité, a développé une liste de 80 erreurs fréquentes dont quelques-unes, que j’ai pu constater, sont indiquées ci-après.

L’impôt des particuliers est beaucoup plus complexe que le croient la plupart des gens et même certains « comptables ». Même si votre déclaration vous paraît simple (et encore plus simple depuis que vous la préparez avec un ordinateur) il est bien probable que vous y ayez laissé glisser quelques erreurs.

Si vous avez des questions ou des commentaires n’hésitez pas à me contacter au 514493(FISC) 3472. Une question, ça ne coûte rien, mais les conseils valent de l’or. Visitez mon site sur http://www.celestin-comptable-agree.ca

9 erreurs malheureusement trop fréquentes présentées ici en rafale

  1. Se fier entièrement à la qualité des réponses téléphoniques données par les fonctionnaires des autorités fiscales (N.B. Le vérificateur général du Québec a déjà indiqué que le taux de « mauvaises réponses » excédait 36 % à Revenu Québec !…)
  2. Réclamation de déduction d’amortissement ou REER, alors qu’on n’est pas en situation d’impôt payable! Ces déductions devraient être évitées, car elles sont reportables.
  3. Non-réclamation des honoraires du comptable dans l’état des dépenses de location d’immeuble.
  4. Réclamer des pertes de location de plus de 10 000 $ et déclencher une vérification fiscale (Revenu Qc a déjà déclaré, à l’APFF, que ces pertes de 10 000 $ et plus tombent sous la loupe de la vérification.
  5. Pourcentage d’utilisation de l’automobile trop élevé ou un coût d’utilisation au KM trop élevé déclenchant une vérification fiscale. Aussi, la méconnaissance des méthodes alternatives de calculs des avantages automobiles fait perdre beaucoup d’argent aux contribuables.
  6. Non-réclamation des impôts fonciers par les propriétaires d’une maison qui subissent une baisse importante de revenus, par exemple lors d’un congé de maternité, ou la perte d’un emploi…
  7. Réclamation de frais de garde d’enfants au fédéral alors que la déduction ne génère plus d’économie d’impôt, alors que la réclamation a pour effet de réduire la Prestation fiscale canadienne pour enfants.
  8. Ne pas réclamer l’exemption pour résidence principale à la vente d’un chalet ou d’une résidence secondaire à l’étranger (ex. une résidence en Martinique ou en Floride) si c’est plus avantageux.
  9. Ne pas réclamer une déduction fiscale oubliée aussi loin que pour les 10 dernières années.
  10. Des logiciels qui bousillent vos frais de scolarité au Québec!
    Il faut faire attention aux logiciels. Les logiciels sont absolument essentiels, mais ils ne se substituent pas au jugement d’un professionnel. Par exemple, il y a quelques années on pouvait choisir entre la déclaration simplifiée ou générale au Québec. Évidemment, les logiciels choisissaient la déclaration (la simplifiée ou la générale) qui vous rapportait le plus grand remboursement d’impôt. Comme la déclaration simplifiée ne permettait pas de déduire vos frais de scolarité, le logiciel pourrait alors choisir d’utiliser la déclaration générale pour déduire vos frais de scolarité, et ce, même si vous deviez utiliser 3 000 $ de frais de scolarité pour obtenir 2 $ de remboursement supplémentaire! Parfois, il vaut mieux vaut confier à un comptable professionnel agréé (CPA) la préparation de vos déclarations.
  11. Frais médicaux – vous croyez peut-être à tort que vous ne pouvez jamais en déduire
    Une quantité phénoménale de gens oublient de déduire comme frais médicaux la prime qu’ils paient pour une assurance médicale ou médicament. En fait, les gens comprennent mal la fiscalité associée aux paiements de leurs assurances collectives. Disons, par exemple, que vous avez une assurance collective typique que vous payez à 60 % (1 500 $) et que votre employeur paie à 40 % (1 000 $) pour un total de 2 500 $.Au fédéral, la portion de l’employeur n’est pas imposable. Au Québec elle est imposable et ce montant est indiqué à la case J du relevé 1. Comme vous serez imposés sur le montant payé par l’employeur, au Québec, vous aurez le droit de déduire cette somme (case J) comme frais médicaux. La plupart des logiciels font bien le calcul. Le problème c’est que la plupart des gens oublient (tout comme les logiciels) la portion qu’ils ont eux-mêmes payée. Le total payé par l’employé se retrouve normalement sur le dernier talon de chèque de l’année. Il est donc primordial de fournir ce talon à votre comptable. S’il ne vous l’a pas demandé, vérifiez votre déclaration de revenus (et celles des années passées). Elles contiennent peut-être une erreur…

    Ainsi, au fédéral avec déjà 1 500 $ de frais médicaux il est plus facile de dépasser la limite de 3 % du revenu (ou 1 813 $). Au Québec, c’est presque assuré que vous réduirez votre impôt à payer avec une case J de 1 000 $ et une portion payée par vous de 1 500 $ (c’est un total de 2 500 $ de frais médicaux déductibles).

Immeubles locatifs et erreurs fréquentes (5 erreurs fréquentes)

Les erreurs dans l’état des dépenses d’immeubles locatifs sont courantes. On retrouve cinq erreurs majeures.

L’amortissement – Si mal compris!

Au départ, plusieurs individus négligent de réclamer une dépense d’amortissement (amortissement = dépréciation) une petite erreur qui fait payer un peu trop d’impôt.

L’erreur la plus importante c’est surtout lorsque des contribuables oublient de faire la répartition terrain / bâtisse du coût d’achat d’une propriété et réclament une déduction pour amortissement sur le coût d’achat total. En fait, seul le coût de la bâtisse peut faire l’objet d’un amortissement. Imaginez la surprise lorsque les autorités fiscales envoient une cotisation pour refuser des centaines de dollars de déductions d’amortissement.

Une erreur fréquente, lorsque le contribuable utilise un logiciel, est l’ordre où il enregistre les catégories d’amortissement. La première catégorie, du tableau d’amortissement, sera normalement la première à être dépréciée pour réduire le revenu de location à zéro. Ainsi, si vous avez du mobilier dans une catégorie 8, enregistré juste après la catégorie de la bâtisse il est bien probable que vous n’utilisiez jamais l’amortissement de cette catégorie, car votre revenu de location sera déjà réduit à zéro avec l’amortissement de la bâtisse!

La répartition des dépenses – la boîte à erreurs

Souvent, les contribuables détiennent un immeuble où ils résident dans un des logements. Pour un triplex, les contribuables calculent 33 % de toutes les dépenses comme étant liées à la partie personnelle. Ce calcul est souvent erroné, car la plupart du temps certaines dépenses d’entretien sont attribuables à 100 % à des logements autres que ceux du propriétaire et sont ainsi déductibles à 100 % et non à 33 %. Malheureusement, étant donné leur conception les logiciels favorisent aussi cette erreur.

Pour les dépenses d’entretien, les contribuables oublient souvent de remplir la TP-1086 (sous peine d’amende de 200 $ pour chaque dépense omise). Ce formulaire doit obligatoirement être rempli pour toutes les dépenses d’entretien faites à l’égard de vos immeubles locatifs. La TP-1086 est un outil pour le ministère pour combattre le travail au noir dans le domaine de la construction. Sur ce formulaire, vous devez indiquer soit le numéro de TVQ soit le numéro d’assurance sociale des entrepreneurs qui vous ont fourni des biens ou services.

L’article du mois prochain :

L’acquisition d’un immeuble locatif – Votre comptable vous a-t-il parlé de la stratégie R.H. ?

La stratégie R.H. est l’une des meilleures stratégies de détention d’un immeuble locatif. Avec cette stratégie l’immobilier vous paraîtra plus incontournable que jamais. Encore mieux qu’un REER pour les personnes en immobilier. Apprenez comment obtenir des déductions insoupçonnées et rendre payant un immeuble locatif… Vous constaterez à quel point les bons conseils valent de l’or.

Si vous avez des questions ou des commentaires n’hésitez pas à me contacter au 514493(FISC) 3472. Une question, ça ne coûte rien, mais les conseils valent de l’or.

Visitez mon site au http://www.celestin-comptable-agree.ca et envoyez-moi des courriels.

À bientôt

Neuf stratégies REER renversantes!

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Voici quelques stratégies (peut-être) un peu moins connues que vous devriez envisager d’utiliser avec vos REER. Pour alléger le texte, les stratégies sont expliquées brièvement. Nous tenons pour acquis dans cet article que vous connaissez les règles de base en ce qui concerne les REER et le RAP (Régime d’accession à la propriété). Si vous avez besoin d’explications supplémentaires, n’hésitez pas à contacter Célestin comptables professionnels agréés à Montréal pour vous aider au 514493(FISC) 3472. Une question, ça ne coûte rien, mais les conseils de nos comptables professionnels agréés valent de l’or. Visitez notre site sur http://www.celestin-comptable-agree.ca

REER de Papa pour financer une entreprise!

Saviez-vous que quelqu’un peut investir dans votre entreprise incorporée (généralement jusqu’à concurrence de 24 999 $) à partir de son REER à condition qu’il n’ait pas de lien de dépendance avec votre société! Fini les recherches de financement impossibles! Si vous connaissez quelqu’un intéressé à vous financer, mais dont les liquidités sont figées dans son REER, informez-le que son REER peut investir directement en actions de votre PME. Attention les règles sont complexes. Faites appel à des comptables professionnels agréés.

Financez votre MBA par le biais d’un REER

Avec le REEP (Régime d’Encouragement à l’Éducation Permanente) il vous est possible de retirer sans impôt 10 000 $ par an (max. 20 000 $ au total) si vous retournez aux études à temps plein. Vous pouvez faire ce que vous voulez avec ce retrait, même une nouvelle cotisation au REER. Votre conjoint peut faire de même et retirer (dans le cadre du REEP) pour votre retour aux études ce qui peut vous permettre d’obtenir jusqu’à 20 000 $ (40 000 $ sur deux ans) sans payer d’impôt. Une cotisation au REER pour un retour aux études pourrait être plus payante que vous le pensez.

En effet, votre revenu pour l’année de votre retour aux études pourrait subir une chute et se situer dans des tranches imposées à plus de 50 %. Consultez les courbes de Claude Laferrière professeur à l’UQAM et vous pourriez être surpris de voir qu’il existe des taux d’imposition de plus de 100 %. Étant donné qu’à un certain niveau de revenu (environ 35 000 $) on perd accès à une foule de crédits sociaux fiscaux il en résulte parfois qu’une hausse du revenu de 1 000 $ se traduise par un impôt supplémentaire de 1 000 $. Cette situation arrive particulièrement entre la tranche de revenu de 25 000 $ à 40 000 $. La bonne nouvelle c’est qu’autant hausse du revenu de 1 000 $ crée un impôt de 1 000 $, mais qu’une baisse du revenu de 1 000 $ crée un remboursement de 1 000 $ aussi. Vous aurez compris qu’une contribution REER peut être très avantageuse dans ces situations.

10 000 $ pour créer 40 000 $ de déduction REER (ou avec 0 $ si vous obtenez un emprunt)

Vous pouvez générer 40 000 $ de déduction fiscale sur 13 mois avec seulement 10 000 $. Voici le truc : vous contribuez (disons en juin) dans un REER 10 000 $ que vous retirez, dans le cadre du REEP, 90 jours plus tard sans impact fiscal. Vous donnez ces 10 000 $ à votre conjoint pour qu’il cotise à son REER. Votre conjoint retire le 10 000 $ 90 jours plus tard et vous remet la somme. Vous attendez de fêter le Jour de l’An et vous recommencez la boucle une autre fois. (Vous ne pouvez faire cette boucle plus que deux fois).

Perdu votre emploi – le REEP peut vous venir en aide

Si vous avez perdu votre emploi, un petit retour aux études à temps plein (10h par semaine pour trois mois) pourrait faire toute la différence. Vous pourrez utiliser les stratégies REEP dont nous avons discuté précédemment et retirer jusqu’à 40 000 $ de REER sans impôt. Vous pouvez aussi utiliser un prêt bancaire pour faire une cotisation massive à votre REER et vous faire rembourser tous vos impôts payés pendant votre ancien emploi.

Préparez un « RAP à RAP »

Envisagez la technique du « Rap à Rap » si vous voulez utiliser le RAP, mais que c’est votre conjoint qui a des fonds accumulés dans son REER. Avec cette technique vous pouvez utiliser les sommes retirées de son REER pour vous aider à contribuer à votre REER. Ainsi, vous obtiendrez non seulement une déduction REER, mais vous pourrez aussi le « RAPER » facilement.

Ce n’est pas tout de connaître le RAP il faut aussi le MAXIMISER!

Les gens oublient souvent de maximiser leur RAP. Advenant par exemple que vous ayez un droit de cotiser à un REER pour 12 000 $. Vous pensez probablement que vous ne pourrez pas retirer les 20 000 $ maximum prévus au programme RAP. Détrompez-vous! En effet, il est possible de cotiser pour l’année en cours (en planifiant bien la date d’occupation de votre maison). Si vous gagnez disons 35 000 $ dans l’année vous pourrez cotiser 18 % de cette somme dès le 1er janvier suivant (un peu avant la date d’occupation) ce qui fera 6 300 $ de plus. Ensuite, si on additionne les 2 000 $ excédentaires permis vous pourrez « Raper » le montant maximum sans problème quitte à conserver des déductions pour les années futures. Attention les retraits doivent être dans la même année civile. (Depuis que cet article a été écrit, le plafond est passé de 20 000 $ à 25 000 $)

Ne remboursez pas votre RAP plus rapidement

Certaines personnes veulent à tout prix se débarrasser de toutes leurs dettes. C’est généralement bien, mais il faut faire attention. L’intérêt de vos dettes d’études est déductible. Remboursez donc votre auto, vos cartes de crédit et autres, avant de « clairer » vos prêts étudiants. Pour votre RAP, rien ne presse. Vous n’avez pas d’intérêt à payer à personne, votre dossier de crédit ne sera pas affecté… Réservez vos liquidités pour cotiser au maximum de votre capacité à un REER déductible, s’il en reste, remboursez votre RAP vos revenus de placement s’accumuleront à l’abri de l’impôt.

REER pour éviter des retenues à la source sur un boni

Pour éviter les retenues d’impôts à la source sur un boni, vous pouvez demander à votre employeur de verser le boni directement à votre REER (ou au REER de votre conjoint) jusqu’à concurrence du maximum de vos droits de cotisation au REER. Aussi, si le boni est payé en janvier ou février vous pourrez réclamer la déduction REER pour l’année précédente et le boni sera imposable seulement l’année où il aura été versé.

REER et travailleurs autonomes en retard

Si vous êtes un travailleur autonome et que vous n’avez pas fait vos acomptes provisionnels, vous savez que vous aurez beaucoup d’intérêt à payer sur vos sommes en retard. La cotisation à un REER peut vous permettre d’épargner environ 4 % de plus qu’un autre individu par une diminution des intérêts découlant d’impôts moindres.

Si vous avez aimé ces stratégies, dites-vous que nous avons, au bureau, une liste de plus de 50 stratégies REER renversantes. Aussi, nos stratégies ne se limitent pas qu’aux REER. Nous prenons chaque année des centaines d’heures pour trouver des stratégies pour nos clients. Nous avons plus d’un tour dans notre sac et il nous fait plaisir de les partager avec nos clients moyennant des frais raisonnables. Ces frais nous permettent entre autres de conserver au bureau une équipe compétente et bien au fait des stratégies les plus intéressantes à vous proposer.

À bientôt

Comment réduire le risque d’erreurs lorsqu’on donne à un comptable le soin de préparer nos déclarations de revenus!

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Selon des informations publiées par Revenu Canada en 2009, environ 43 % des déclarations produites en 2009 ont été préparées par des tiers (40 % en 2001). Lors de la saison d’impôt, tous les comptables sont confrontés à un problème important : le manque de temps. Lorsque l’on combine ce problème avec la complexité grandissante des déclarations de revenus, on augmente de façon importante les risques d’erreurs. Voici quelques éléments pour réduire les risques d’erreurs dans votre déclaration.

Avant tout, faites affaire avec un professionnel reconnu. Les comptables professionnels agréés (CPA) sont les professionnels les mieux placés pour la préparation de déclaration de revenus. Leur formation en fiscalité est approfondie et reconnue. Trop de particuliers utilisent les services express de « comptables » non professionnels ou sans titre professionnel et courent le risque de payer trop d’impôt. À l’inverse, si vous n’en payez pas assez vous pourriez avoir des ennuis qui vous suivront longtemps. N’hésitez pas à lire leur diplôme ou de confirmer leur statut professionnel avec l’Ordre des comptables professionnels agréés du Québec (OCPAQ).

  1. Assurez-vous que votre comptable agréé utilise des fiches de contrôles de la qualité pour les déclarations. Ces fiches de contrôles de la qualité aident le professionnel à s’assurer que tous les éléments importants ont été considérés pour votre déclaration. Consulter cette fiche de contrôle s’il l’a préparée…
  2. Assurez-vous que le professionnel utilise un logiciel professionnel pour préparer vos déclarations. Généralement, les logiciels professionnels ne sont pas disponibles sur les tablettes des magasins de détail. S’il prépare encore les déclarations à la main, le risque d’erreur devient important. Saviez-vous qu’au Québec un couple à la retraite qui désire fractionner ses revenus de pension doit préparer au moins une douzaine de déclarations pour déterminer celle qui pourrait être le plus près de la plus avantageuse. Le plus près seulement, car la plus avantageuse ne peut être calculé que par un logiciel. Imaginez à la main!…
  3. Assurez-vous que le cabinet comptable, que vous avez choisi, a mis en place un bon système de vérification des déclarations. En effet, il est préférable qu’une personne prépare les déclarations et qu’une autre (plus expérimentée) les vérifie pour réduire les erreurs d’inattention, les inversions de chiffres, les oublis, etc.
  4. Assurez-vous que votre comptable a préparé un comparatif avec l’année précédente et qu’il a expliqué les écarts importants. C’est fou ce que l’on découvre comme ça. Si vous avez un nouveau comptable, son système ne contient pas en mémoire les données des années précédentes, soyez donc plus vigilant.
  5. Assurez-vous que votre comptable reçoit tous vos avis de cotisation et qu’il s’assure qu’il n’y ait pas d’écart avec les déclarations produites. S’il y a des écarts, il est primordial de les examiner avant la fin de la période permise pour faire opposition soit généralement 90 jours suivant la date de l’avis.
  6. Un bon service devrait aussi inclure une planification fiscale même légère avant la fin d’année ou avant la fin de la période des REER. Vous pouvez donc comparer les résultats finaux et ceux prévus.
  7. Révisez vous-même la déclaration, vous ne savez jamais ce que vous pourriez y trouver, et questionnez.

Si vous avez des questions ou des commentaires n’hésitez pas à contacter nos comptables professionnels agréés au 514493(FISC) 3472. Une question, ça ne coûte rien, mais les conseils de nos comptables professionnels agréés valent de l’or.

Visitez notre site au http://www.celestin-comptable-agree.ca et envoyez-nous des courriels.

À bientôt

Comment se passe une saison d’impôt chez Célestin Comptables Professionnels Agréés ?

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La préparation du dossier

Vous devez préparer votre dossier et vos questions, le plus possible, avant de rencontrer nos comptables professionnels agréés du bureau de Montréal. Un dossier bien préparé réduira les coûts et réduira les chances d’erreurs. La liste des documents à préparer est disponible sur notre site Web au www.celestin-comptable-agree.ca dans la section particulier / préparer son dossier. Appelez-nous afin qu’on vous envoie le questionnaire d’informations importantes à ne pas oublier, mis à jour chaque année. Nos comptables professionnels agréés demandent beaucoup d’informations. Ne vous découragez pas, c’est important pour nous permettre de trouver toutes les déductions fiscales auxquelles vous avez droit.

L’analyse du dossier soumis

Amenez ensuite votre dossier au bureau de Célestin comptables professionnels agréés à Montréal pour y rencontrer, autant que possible, un associer du bureau qui prendra le temps de faire une première analyse des documents apportés. Cette analyse permet de s’assurer que vous n’avez rien oublié et de répondre à vos questions. Si vous êtes loin en région, et que vous préférez ne pas vous déplacer à Montréal vous pouvez aussi nous envoyer vos documents sur la zone sécurisée client. Nous pourrons alors compléter une rencontre ensemble au téléphone ou sur une session caméra web.

La préparation du dossier fiscal

Le dossier du client est remis à un préparateur du bureau (un comptable professionnel agréé (CPA) ou une personne en voie d’obtenir son titre professionnel) qui remplit la déclaration au meilleur de ses connaissances. Le préparateur rassemble ses questions et communique avec le client si des informations ne sont pas claires, s’il manque des documents ou autres. Le préparateur doit s’auto vérifier. Entre autres, il doit vérifier toutes les données saisies, s’assurer de régler tous les diagnostics logiciels et analyser les comparatifs avec l’année précédente et expliquer les écarts. L’analyse des comparatifs doit se faire pour tous les états du client.

La vérification des déclarations

Lorsque le dossier est complété, le préparateur l’envoie pour révision. Le réviseur est généralement une personne plus expérimentée et dont la compétence est reconnue par un titre professionnel de comptable professionnel agréé ou un autre titre approprié. En plus d’analyser les données saisies, les comparatifs, et les diagnostics logiciels, le comptable agréé réviseur doit s’assurer que l’optimisation a été faite adéquatement. Il doit aussi faire une brève analyse quant à des recommandations à faire au client pour réduire son fardeau fiscal les années suivantes. Il analyse la déclaration à l’aide d’une grille de révision en 60 points. Il s’assure de communiquer avec le client s’il y a un solde à payer.

Le vérificateur remet au transmetteur (TED) les déclarations admissibles au transfert électronique. Les clients non admissibles au transfert électronique doivent être appelés régulièrement pour s’assurer qu’ils envoient leurs documents avant la date limite.

Le réviseur à la responsabilité de sélectionner les déclarations qui présentent des difficultés particulières ou anormalement complexes et qui doivent faire l’objet d’une troisième révision par le détenteur d’une maîtrise en fiscalité.

Transmission des déclarations (TED)

Pendant la saison au fur et à mesure que les dossiers ont complété le processus de révision, et qu’elles ont été acceptées par la TED le transmetteur doit déposer une copie de la déclaration du client dans la zone sécurisée client sous format PDF.

Réception et révision des avis de cotisation

Après la saison, le cabinet vous demandera de nous envoyer vos avis de cotisation au fédéral et au provincial. Des copies seront insérées à votre dossier et dans la zone sécurisée client. L’avis de cotisation doit être analysé avec la déclaration de manière à s’assurer qu’il n’y a pas d’écart avec la déclaration produite. Tout écart doit être analysé et s’il y a lieu il faut préparer un avis d’opposition dans les 90 jours de l’émission de l’avis de cotisation.

Étant donné que les déclarations des clients sont envoyées électroniquement les ministères peuvent cibler quelques clients du transmetteur (TED) au hasard et réclamer des pièces justificatives (T4, reçus de frais de scolarité, frais médicaux ou autres). Les documents originaux du client doivent donc être conservés pendant quelques mois, au moins jusqu’au mois d’août suivant. Lorsque le ministère a terminé ses demandes, nous pouvons remettre les documents originaux au client. Idéalement, les documents originaux du client lui seront remis l’année suivante au moment où il amène ses nouveaux documents fiscaux.

Quelques politiques du cabinet

  • Le cabinet promet aux clients admissibles que leur dossier sera transmis par TED avant le 30 avril.
  • Les clients qui déposent leur dossier après le 20 avril ne peuvent avoir la garantie que leur dossier sera transmis avant le 30 avril et devrait en être averti.
  • Le cabinet a pour politique de ne pas communiquer au client les sommes à recevoir ou à payer avant la fin du processus de révision pour éviter les déceptions ou les décisions hâtives des clients.
  • Toutes les déclarations admissibles doivent être transmises électroniquement. Cette solution réduit les risques d’erreurs de saisit de la part des ministères et réduit aussi les embarras pour les clients qui doivent souvent faire peser ces envois postaux irréguliers. C’est aussi une solution écologique et rapide.

Ce résumé des normes ne remplace pas les normes de contrôle de la qualité du cabinet prévues dans le manuel d’assurance qualité.

Si vous avez des questions ou des commentaires n’hésitez pas à contacter un comptable professionnel agréé de notre bureau de Montréal au 514493(FISC) 3472. Une question, ça ne coûte rien, mais les conseils de nos comptables professionnels agréés valent de l’or.

Visitez notre site au http://www.celestin-comptable-agree.ca et envoyez-nous des courriels.

À bientôt

Vous cherchez à Montréal des comptables professionnels agréés, minutieux pour vos impôts

By Non classé

La saison d’impôts des particuliers approche et vous songez à faire faire votre déclaration d’impôts. Si, dans le passé, vous avez fait l’expérience d’un service « expresse » dans un bureau de Montréal, dont la pratique est axée sur le volume, il est probable que vous aimeriez, maintenant, faire faire vos impôts dans un cabinet minutieux de comptables professionnels agréés à Montréal.

En fait, avant de choisir le cabinet comptable, qui va préparer vos déclarations fiscales, vous devez savoir que l’industrie des déclarations d’impôts est atteinte d’un énorme « cancer » qui ne va pas se régler de si tôt. Si vous désirez éviter d’être une des victimes de ce « cancer », je vous suggère de lire un article, absolument extraordinaire, d’Yves Chartrand, une sommité en fiscalité. L’article se nomme : Le véritable cancer touchant les déclarations fiscales. En lisant cet article, vous allez prendre conscience du danger qui pourrait vous guetter. Cet article a été reproduit sur notre site web dans l’onglet « particulier ». Vous pourrez en profiter aussi pour visiter l’excellent site WEB du Centre Québécois de Formation en Fiscalité.

Chez Célestin comptables Professionnels agréés à Montréal, nous n’offrons pas de service express. Nous acceptons, essentiellement, des déclarations fiscales personnelles des clients corporatifs du bureau. Nous acceptons aussi les déclarations fiscales de travailleurs autonomes et des propriétaires immobiliers.

Pourquoi restreindre? Simplement pour s’assurer de ne jamais tomber dans un service express. On essaie de produire des déclarations de haute qualité tout en conservant des tarifs raisonnables. En s’occupant essentiellement des clients qui ont un compte corporatif, de travailleurs autonomes et des propriétaires immobiliers, on réussit à avoir une bien meilleure connaissance de chaque client. En réduisant le volume, on peut prendre le temps de bien faire les choses et suivre le manuel de contrôle de la qualité du bureau qui est très exigeant. Pour vous rassurer encore plus, nous n’engageons que des personnes hautement qualifiées pour préparer et réviser les déclarations fiscales des particuliers, soit des comptables professionnels agréés (CPA), des maîtres en droit fiscal, ou des personnes en voie d’obtenir leur titre professionnel.

Il se pourrait que vous croyez, à tort, que notre cabinet de comptables professionnels agréés à Montréal est simplement trop cher. En magasinant, vous avez trouvé un ancien fonctionnaire, maintenant à son compte, qui a passé 20 ans au ministère du revenu et qui ne demande que 50 $.

Je tiens à rappeler que le vérificateur général du Québec a déjà déclaré que 36 % des réponses fournies par les fonctionnaires du ministère du revenu, aux questions des contribuables, par téléphone, étaient fausses ou trompeuses. 36 %! Faites vos conclusions.

Maintenir des tarifs à un niveau raisonnable est un défi de tout instant. Des comptables professionnels agréés CPA, et dont certains sont, en plus, des maîtres en droit fiscal, ça coute un peu plus cher de l’heure. Ensuite, la clé pour réussir à produire des déclarations de particuliers de qualité passe surtout par une excellente connaissance du client. Si on ne connaît pas bien le client, on a plus de chance de passer à côté d’un élément important. Prendre le temps de bien connaître le client ça prend du temps, et ça, ça qui coute un peu plus cher. Comment savoir qu’un client a droit au crédit d’impôt pour aidant naturel si on ignore qu’il doit s’occuper d’une personne âgée. Seulement une bonne connaissance du client peut nous aider à découvrir ce que le client oublie souvent de dire à son comptable professionnel agréé, faute de connaissances appropriées.

Peut-être faites-vous partie des gens, qui croient que ça ne vaut pas la peine de faire préparer sa déclaration par un comptable agréé, puisque c’est moins cher de les faire vous-même. Vous trouvez peut-être que c’est tellement facile depuis que vous les faites avec un logiciel.

Les déclarations de particulier sont beaucoup plus complexes que ne le croient la plupart des gens. Lisez notre article sur le site internet nommé les 16 erreurs fréquentes commises dans la préparation de déclarations de revenus et donnez-moi en des nouvelles. Nous avons eu des dizaines de remerciement et félicitation pour cet article, qui a même été repris, en bonne partie, dans le journal publié par la corporation des propriétaires immobiliers du Québec. Vous serez sidéré. L’informatique est très utile, mais ça ne remplace pas le jugement d’un professionnel averti.

Que vous soyez à Montréal, Longueuil, Laval ou ailleurs en région, en venant chez Célestin comptables professionnel agréés, vous serez heureux d’avoir confié la préparation de vos déclarations de revenus à un cabinet de comptables professionnels agréés minutieux et vous apprécierez les honoraires raisonnables du cabinet. En tout cas, vous aurez fait votre partie de la « job » pour trouver de bons comptables professionnels agréés à Montréal pour traiter votre dossier fiscal. Maintenant, vous pourrez dormir tranquille sachant que tout a été mis en œuvre afin que le travail soit bien fait et qu’il n’y ait pas d’erreur.

Je vous invite à consulter les textes et vidéos de notre site internet, afin d’avoir des exemples concrets de l’expertise de nos comptables professionnels agréés, et comment la technologie est utilisée par notre firme.

N’hésitez pas et téléphonez, dès maintenant, pour discuter avec un associé comptable professionnel agréé des particularités de votre dossier et prendre rendez-vous à notre bureau de Montréal ou chez vous pour une consultation gratuite d’une valeur de 375 $.

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